En associant de nouveaux résultats de localisation de séismes historiques avec des données archéologiques, et paléosismologiques, des chercheurs internationaux ont estimé le déficit de glissement accumulé et l’aléa sismique le long de la faille du Levant.
L’étude, par une équipe de chercheur de l’IPGP, de la morphodynamique des systèmes dunaires près de la calotte polaire nord de Mars, fournie par imagerie satellitaire, permet de remonter aux conditions de vent sur la planète.
L'analyse des données satellitaires du champ de gravité a permis de mettre en évidence et replacer dans un scénario global la séquence de transferts de masses associés au séisme géant de Tohoku et notamment de démontrer qu'ils étaient initiés en profondeur quelques mois avant la rupture.
Une équipe de chercheurs français et équatoriens ont mis en évidence les relations entre différents modes de glissement sur la faille de subduction d’Équateur, cette étude devrait permettre une caractérisation plus fine de futurs grands séismes.
Estimer la magnitude des séismes en observant les mouvements des couches ionisées de la haute atmosphère (ionosphère), est l’objectif du travail publié le 24 janvier dans la revue Nature - Scientific Reports par une équipe de chercheurs de l’IPGP.
L'hypothèse de "l’impact géant" est confrontée aujourd'hui à un problème : elle ne peut expliquer pourquoi la Lune et la Terre sont isotopiquement identiques. Deux modèles différents ont récemment été proposés, qui expliqueraient dans quelle mesure la Lune se révèle être un véritable clone de la Terre, mais avec des prédictions radicalement différentes de la taille de l'impacteur Theia.
Des pluies torrentielles en Martinique provoquent glissements de terrain et coulées de boue. Ils sont enregistrés par le réseau sismologique de l’OVSM et n’ont aucun lien avec un regain d’activité de la Montagne Pelée qui reste à un niveau de base normal.
Des changements observables à une échelle nanoscopique dans un magma peuvent provoquer des changements catastrophiques dans la dynamique des éruptions volcaniques qui peuvent alterner entre des éruptions effusives et explosives.
Lauréat de l'appel à projet Make Our Planet Great Again, Louis A. Derry, professeur à l'Université de Cornell et spécialiste de l'étude des zones critiques, sera accueilli, pendant 5 ans, dans l'équipe de Géochimie des enveloppes externes de l'IPGP.
Les perturbations de gravité générées par les séismes peuvent être précocement détectées (avant les ondes sismiques se propageant dans la croûte et le manteau) et pourraient permettre une détermination plus rapide de l'ampleur d'un séisme.
Une équipe internationale de chercheurs, menée par Charles Le Losq et Daniel Neuville de l’Institut de physique du globe de Paris, révèle comment la structure des verres et liquides alumino-silicatés présente des nano-arrangements moléculaires affectant grandement leurs propriétés.
Construit sur le mode du thriller, ce documentaire réalisé en collaboration avec des chercheurs de l'IPGP suit le fil d’une enquête internationale sur un volcan mystérieux, berceau de l'une des plus grandes éruptions de ces dix mille dernières années.